<<°Quel es pour vous la meilleure définition de l'Amour ? °>>

0o° Un papillon de nuit °o0

0o° Qui venait de très loin °o0

0o° Un vent frais le conduit °o0

0o° Dans ma chambre à coucher °o0

0o° Il avait l'air soucieux °o0

0o° D'avoir perdu une fleur °o0

0o° Une fleur grande valeur °o0

0o° Il était malheureux °o0

0o° Je lui es dit papillon °o0

0o° Il ne faut pas pleurer °o0

0o° Pour une fleur perdu °o0

0o° Qui n'a pas su t'aimer °o0

0o° Pose-Toi sur la branche °o0

0o° De mon jardin secret °o0

0o° Partageons nos souffrance °o0

0o° Je pleure aussi en concret °o0

0o° Je lui es froler ses ailes °o0

0o° Et lui embrasser son coeur °o0

0o° Il ma dit dit merci belle °o0

0o° Il est partis heureux °o0

0o° secouant fort ses ailes °o0

0o° Mon coeur était joyeux °o0

0o° Combien la vie es belle ! °o0

0o° Losqu'on soulage les maux °o0

0o° D'un coeur malheureux °o0

0o° Et d'un amour fraternel °o0

0o° On soulage les douleurs °o0

0o° Causer par une fleur cruelle °o0

0o° Sans arome ni senteur °o0

0o° Qui part s'enraciner ailleurs °o0

Poudre legere sur ma peaux sais incrustee
creme ardante de tes mains me massant
fard de jalousie nettoie sais autre regard sur lui
d un traie noir fixe mes yeux dans ton regard
deploie ma vision qui serais de toi et moi reunis
chatoyante ou passion sucree jembrasse tes levres
pour y gouter ta seve
des doigts griffer la rosee d une caresse
jai toujours la meme douceur de la soie a ta porter
reclamant ton toucher
peaux clair fais honte a la jalousie je ne veus pas y penser
le regard a te foudroyer que enfin tu puisse me voir
tendre baisser je reve de t'enlasser
tenir ma proie et la garder
je taime ja ne narrive pas a t'oublier

Dans l'obscurité, un homme, une femme,
A la seule lueur d'une flamme...
Un bel instant de tendresse,
Où se mêlent silence et caresses...
Lorsque, soudainement, les gestes s'affolent,
Dans ce monde toujours sans paroles...
Les lèvres se rapprochent doucement,
Se touchent et se séparent furtivement...
Enfin, un long baiser brûlant,
Et l'atmosphère se fait volcan...
Les corps brûlants s'enflamment,
De ses bras, l'homme serre la femme,
Et les membres s'entrelacent,
Ne laissant plus aucune place
A la moindre petite bulle d'air...
Il n'y a plus de repères,
Et les âmes s'envolent au paradis,
Tandis que les corps restent dans la nuit...
Puis, le moment magique et sans fin
Où les êtres ne forment plus qu'un...
Les secondes se perdent dans le temps
Les corps s'enlacent profondément,
Jusqu'à la phase finale,
Où le monde devient l'extase totale...